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Année 2013

Dernière mise à jour : 13 févr. 2023

JEUDI 28 NOVEMBRE 2013

Léa, 25 ans, titulaire d'une licence en biologie et d'un master en environnement:

Jambo !! Karibu Muringa Farm !!Endroit magique…Du calme et de la douceur pour une coupure bien méritée ! Juste un pur bol de bonheur !!Réveillée le matin par les chants des oiseaux et endormie au son des étranges Pimbi !! Un vrai moment de reconnexion avec la Nature !

Je suis ravie de mon voyage et de mon séjour ici à Muringa farm. J’ai passé trois semaines extraordinaires ! Que de découvertes ! Les kenyans sont très accueillants et les enfants connaissent bien le fameux « How are You ? » (Plus ou moins bien prononcé !). Les paysages sont verdoyants et à couper le souffle.Cette expérience est difficile à décrire par les mots car il faut le vivre de l’intérieur, pleinement et à chaque instant…

Les activités d’éco-volontariat sont variées et très sympathiques. On apprend beaucoup de choses et les échanges sont riches. On a du temps pour soi et pour se faire plaisir (trekking, visites, cours, …). De plus, on peut aider le staff dans les tâches quotidiennes (aide à la ferme, aux animaux, jardinage…).

A Muringa, il y a bien sûr Erick et Astrid. Je les remercie de tout cœur pour tout cela. Sans eux rien n’aurait été possible ! Le staff est fabuleux ! J’ai trouvé ici une « petite famille kenyane » : Merci à tous ! : Benjamin pour ces bons fous rires ensemble et ses histoires, Edwin pour ses cours (Swahili, oiseaux, plantes…), Vincent pour ces belles promenades à cheval, Stephen pour ses bons petits plats, Samweal pour nous avoir accueillis chez lui, … et tous les autres !

Un grand merci aussi à tous les animaux qui m’ont accompagnée durant mon séjour (pour leur aide, leur joie, leur amour, et leurs connaissances).

J’ai pu retrouver une paix intérieure ici et j’y ai trouvé beaucoup de joie ! Une belle aventure ! Je n’oublierai pas… je pense revenir un de ces jours avec peut-être un ou des amis pour partager cette expérience avec eux. Car cela en vaut le coup !!

Asante Sana ! I will miss you !A bientôt ! Bises à tous ! Vous allez vraiment me manquer !!!! Léa


Vincent, 30 ans, ingénieur en informatique:

La propriété et ses alentours sont un cadre magnifique et totalement dépaysant. Le logement offert est d’une bonne qualité. Les bandas au milieu du grand pré vert sont toutes mignonnes. Tout le staff a été d’une extrême gentillesse. Je pense surtout à Edwin, Vincent, Benjamin et Joseph avec qui j’ai passé le plus de temps. Les repas préparés par Stephen et Caroline sont  variés et toujours très bons. L’accueil au restaurant est toujours très chaleureux !

Au niveau des programmes d’éco-volontariat, les activités proposées sont intéressantes mais se répètent assez vites. Les journées offrent finalement pas mal de temps libre entre chaque activité, ce qui est aussi un avantage agréable pour se reposer et profiter du calme du lieu.Les activités sont la meilleure façon d’avoir des intéractions avec les animaux. Sur les observations, mon meilleur souvenir restera la fois où avec Edwin, on a pu comptabiliser 43 Bleu Monkeys. A la ferme, Lolita la chèvre est toujours là pour jouer avec nous comme un chien le ferait. On lave les cages, les box des chevaux, les chiens, etc, tout ça au rythme local, le fameux « pole-pole ».

Bilan très positif, j’ai trouvé ici ce que j’étais venu chercher : le calme, la nature, les marches, le travail à la ferme, les animaux, les liens crées avec les Kenyans. Je vais repartir avec des images plein la tête, en espérant avoir pu donner, à mon tout petit niveau, mon aide au fonctionnement de Muringa Farm. Quelle fin émouvante !Merci à tous !

Magali, 51 ans, directrice de centre de profit:

Accueil chaleureux. On se sent tout de suite à l’aise. Cadre vraiment enchanteur. La présence des chevaux dans le pré autour des bandas est un plus. L’omniprésence des chiens et de Lolita en liberté également. C’est réjouissant et réconfortant d’autant qu’on arrive de la ville où la verdure et les animaux sont absents.Le staff est adorable et serviable.

Les travaux en tant qu’éco-volontaire sont intéressants mais demanderaient plus d’autonomie.Les recensements singes et oiseaux sont probablement un peu approximatifs du fait d’une méconnaissance des espèces et du manque d’habitude de repérage. La présence du guide est essentielle dans ce cadre. J’ai particulièrement apprécié les sorties hors de la ferme, permettant une approche différente et in situ de la vie kenyane (visite de Nyahururu, Subukia, etc).

De façon générale, le programme de travail est assez léger , ce qui laisse la place à une découverte de l’environnement par soi-même et des moments de repos appréciables.

Quelques photos prises lors des safaris à Nakuru et Maasai Mara :

MERCREDI 27 NOVEMBRE 2013

Impressions et photos de nos éco-volontaires de Septembre 2013: Matthieu, Alexandra, Marie et Gwenn:

Matthieu, 29 ans, ingénieur en travaux publics, et Alexandra, 31 ans, aide-soignante:

Très bon séjour à Muringa Farm. On a particulièrement apprécié le contact avec la population locale. Le staff était très accueillant, à notre écoute et très serviable.

On a aimé le contact avec les autres éco-volontaires et surtout le fait d’être dans un lieu atypique. Les activités, variées, en rapport avec la nature et la culture kenyane ont été enrichissantes. C’est incroyable de penser que plus de 150 espèces d’oiseaux et plus de 500 espèces de végétaux co-existent ici, sans compter les mammifères!

Le projet Human to Horse mis en place par Astrid (travail en liberté avec les chevaux, interaction spontanée, communication par les sens et le langage du corps) est très intéressant également.Merci à toute l’équipe pour ce séjour inoubliable.

ASANTE SANA !A bientôt… Alexandra et Matthieu

Marie, 20 ans, étudiante en sociologie, et Gwenn, 21 ans, étudiante en biologie:

Ce voyage fut une expérience extrêmement enrichissante, spécialement sur le plan humain. Au cœur d’un cadre idyllique (une petite ferme à quelques kilomètres d’un village de taille modeste), nous avons découvert la culture kenyane grâce à un super guide, et une équipe (constituée de locaux) très professionnelle (les cuisiniers nous gâtent à souhait), avec laquelle nous nous sommes entendus à ravir, très à l’écoute, ouverte, et prête à nous faire partager leur expérience à tout moment.

La méthode de travail en liberté avec les chevaux Human to Horse proposée par Astrid est très enrichissante spécialement pour les gens et chevaux qui ne sont pas à l’aise…

Les différents ateliers proposés (jardinage, cuisine, découverte des animaux, plantes locales…) sont très variés. La situation de la ferme, dans une vallée, permet également de faire de très belles randonnées, jusqu’à 2500 mètres d’altitude.L’immersion dans la culture kenyane est vraiment totale, au cœur d’une équipe géniale ! Marie

Un cadre exceptionnel et une formule qui nous a permis de rencontrer les Kenyans qui sont très gentils. Les employés en particulier ont été géniaux, répondant à toutes nos questions sur leur culture, sur le fonctionnement du Kenya et surtout très accueillants. On s’est également bien régalé au restaurant. Nous nous sommes très bien entendues avec toute l’équipe travaillant à Muringa Farm.

La technique pour travailler avec les chevaux en liberté m’a également beaucoup intéressée car c’est une approche alliant douceur et patience avec des chevaux pour la plupart craintifs. Gwenn

Quelques photos prises lors des safaris à Nakuru et Maasai Mara, autres moments forts des séjours d'éco-volontariat à Muringa Farm :

MARDI 1 OCTOBRE 2013

Wafaa (26 ans, franco-marocaine, chef de projet marketing):

Décrire notre voyage en quelques lignes va être compliqué !En venant ici je recherchais dépaysement et sérénité.J’ai trouvé bien plus que cela, ce voyage fut un émerveillement jour après jour. Un domaine magnifique, de la vie derrière chaque brin d’herbe, de l’amour et du respect pour cette nature si riche.


Ce voyage est une leçon de courage et d’humilité : vous avez su donner vie à votre rêve, l’éden au Kenya . Ce pays est riche de par sa nature, ses hommes qui se contentent de ce qu’ils ont, c’est la vraie richesse. Je remercie toute cette merveilleuse équipe qui nous a dorloté, du cuisinier, aux équipes de la ferme, aux responsables de l’entretien des bandas et aux guides.

Vous avez su nous faire vivre une idylle dans un endroit paradisiaque, sans oublier le Masaai Mara qui m’a permis de réaliser mon rêve, celui de vivre aux côtés de cette vie sauvage si impénétrable.Continuez, et j’espère revenir faire découvrir à mon fils ce coin de paradis.

Wafaa.

Jamila (30 ans, franco-marocaine, chargée de clientèle dans une banque):

Pour notre premier voyage en tant qu’éco-volontaires, tout ce que nous pouvons vous dire dans un premier temps c’est que « nous espérons que cela ne soit pas le dernier » !En effet, l’éco-volontariat ou le tourisme utile est vraiment la découverte d’un pays et d’une communauté en étant responsable et en allant au contact de la population et des activités de tous les jours : contact avec des familles Kenyanes, l’entretien de la ferme, le contact avec les animaux…

Nous  n’avons  pas  le temps de nous ennuyer à Muringafarm : car même si nous avons du temps libre, il y a toujours à faire, comme rencontrer une équipe formidable : cuisinier Stephen (génial, pour être sincère, on s’attendait à ne manger que du riz….lol!),  des  guides  qui savent tout du lieu qu’ils occupent  (merci à Edwin, Tumaini, Korir, Rufus), à ceux qui nous ont accompagné pour l'entretien de la ferme et des animaux (Benjamin, Samweal, Vincent…) et bien entendu l’équipe de choc, car sans eux et leurs passions, il n’y aurait pas une équipe aussi soudée : Astrid et Erick.

Nous les remercions de nous avoir permis d’aller à la découverte de la population et surtout des orphelins et du camp de réfugiés qu’ils soutiennent.On peut voir sur de nombreux visages d’enfants la joie et le sourire qu’ils dégagent dès que l’on joue avec eux, qu’ils sont soutenus… continuez à les soutenir car les enfants sont l’avenir.Astrid et Erick, nous souhaitons vous remercier  d’avoir mis sur notre chemin Agnès, Brian, Anna, Samuel, Hélène et Claire  (les autres  éco-volontaires) car avec  toutes les activités, cela nous a permis de développer une relation d’amitié et d’envisager éventuellement  un prochain éco-volontariat avec cette même équipe.

En bref, cette action d’éco-volontariat nous a permis de nous enrichir culturellement, intellectuellement et de développer notre cercle d’amis. Nous ne vous souhaitons que de bonnes choses : une équipe toujours aussi enthousiaste, des éco-volontaires  toujours aussi passionnés et responsables, des clients aussi motivés et émerveillés, des chevaux aussi bien entretenus (nous espérons pouvoir un jour monter Aliocha… !) A bientôt pour de nouvelles aventures,  Inch Allah (si Dieu le veut) !

Jamila.

Claire (20 ans, française, étudiante en sciences de l'environnement) et Hélène (20 ans, française, étudiante en école d'ingénieur):

Ce premier voyage en Afrique nous a permis de réaliser à quel point nous pouvions avoir des idées reçues à propos de ce continent. Tout d’abord, nous ne pensions pas qu’en nous trouvant à l’équateur nous pourrions trouver des paysages aussi verts, les bottes si utiles et des enfants portant des cagoules. De plus, on a tendance à associer Afrique et faim, mais c’est loin d’être le cas à Muringa Farm, où le chef saura vous régaler et vous faire repartir avec quelques kilos en plus (et pas dans la valise).

Même les animaux ici sont surprenants : des singes, des chevaux qui lisent à nos côtés, une chèvre qui se prend pour un chien, et des damans qui nous réveillent au milieu de la nuit.En tant qu’éco-volontaires, nous ne croulons pas sous le travail mais toute personne motivée pourra se rendre utile à l’amélioration de la ferme. 

Ce type de séjour nous a aussi permis d’être en contact direct avec la population locale lors de nos visites au village pour la sensibilisation aux bons soins des ânes, au camp de réfugiés et à l’orphelinat de Subukia. On a ainsi pu découvrir un autre mode de vie et une autre culture, qui dépaysent totalement de la vie quotidienne européenne.

Nous n’oublierons pas les pancakes du matin, les missions « observation de singes et d’oiseaux », les lessives de chaussettes, notre périple en « boda-boda » et nos randonnées dans la boue. On remercie tout le staff et notamment Erick et Astrid de nous avoir accueillis ; quant à nous, notre séjour se finira en beauté au Masai Mara.  Asante sana !

Claire et Hélène.


Agnès (47 ans, française, vétérinaire équine), Brian (47 ans, anglais, consultant) et leurs enfants Samuel (9 ans) et Anna (10 ans):

Trois semaines d’immersion paisible à Muringafarm. Deux grands, deux petits. La famille débarque à Subukia pour la « total experience ».Au programme : observation des singes (autres que les quatre que nous sommes)  et des oiseaux, travail avec les chevaux et les animaux de la ferme. Mais aussi rencontres avec les écoliers du camp de refugiés, visite à l’orphelinat et aux fermes locales, aide aux propriétaires d’ânes dans  le village…

Et au cas où tout ça semble trop politiquement correct, bien sûr des visites touristiques plus classiques - aux cascades, en safari…Les « inoubliables » ? :

- le bruit des Pimbi (daman des arbres en swahili) pendant la nuit, pas besoin de beaucoup d’imagination pour penser qu’on assiste à un film d’horreur…                                         

- le rhino qui commence à charger vers notre véhicule pendant que notre guide regarde paisiblement dans l’autre sens…                                       

- les pancakes du petit déjeuner au restaurant au bord du lac après une levée à l’aube pour observer les oiseaux…                                       

- les leçons de Swahili qui « dégénèrent » en fous rires, l’anglais, le français, et le Swahili étant un sacré mélange de langues et de (mé)compréhension…                                        

- les jeux de foot avec les écoliers et jeux de cartes à l’orphelinat…                                        

- le marchandage gentil avec les vendeurs de souvenir au « view point »…                                        

- la moto à trois dans la boue….

Nous rentrons en France avec, nous l’espérons, une meilleur ouverture sur le monde grâce à l’équipe de Muringa Farm et les activités auxquelles nous avons pu participer avec elle.Merci à Astrid, à Erick et aussi à Edwin, Tumaini, Stephen, Samweal et tous les autres pour avoir montré une partie de ce que peut être le tourisme responsable et l’éco-volontariat  au Kenya !

Brian, Agnès, Samuel et Anna.

SAMEDI 14 SEPTEMBRE 2013

Presque toutes les photos sont de Gwendoline Bichler, merci Gwendoline!

Gwendoline, 25 ans , Française, étudiante en commerce: En début d’année, je cherche un plan pour cet été, partir loin pour y faire quelque chose de différent. Après de longues recherches, je tombe sur le site de Wild Routes of Kenya et le blog de témoignages des écos et rien ne peut plus me faire changer d’avis. Quelques mails échangés avec Astrid et juillet 2013, direction Subukia. Et en plus le Kenya, les animaux sauvages et la savane c’est un rêve qui se réalise. Et donc après 6 mois d’attente, 22h dans l’avion ou à l’aéroport et 4h de voiture pour arriver à Muringa Farm, à part les Wild Routes of Kenya, il y fait noir. Mais le réveil le lendemain y est magique : la propriété, le restaurant avec vue sur le lac, les animaux, le staff… Et les crêpes de bon matin, on s’y habitue un peu trop facilement.

Après ces quatre semaines à Muringa Farm, j’ai enfin eu ma rencontre authentique avec l’Afrique, que ce soit au village avec les habitants ou les enfants rencontrés sur toutes les routes qui nous saluent, nous crient « How are you ? » ou qui nous courent après… les chants et les jeux de swahili à l’école avec les enfants du camp de réfugiés, autant d’instants de vie à ne pas oublier.Les trekkings que je ne suis pas prête d’oublier non plus, même si le jeu en vaut la chandelle, chez Samweal, les Thompson Falls, les deux côtés de la vallée… Et les visites à Nakuru, à la plantation de thé et de café… Et le travail en liberté avec les chevaux que j’ai adoré, quel satisfaction éprouvée pour chacun de leurs pas à Santos, Typhon, Ouragan et Justice.

Mais le clou du spectacle, ce sont les safaris, qui sont immanquables pour toute escale au Kenya. Lake Nakuru pour la mise en bouche et puis le Maasai Mara avec une chance inouïe où on a pu voir tous les animaux que l’on voulait. Et le tout avec Korir, qui a été d’une gentillesse et d’une disponibilité sans limites. Asante sana Korir !

Merci beaucoup à tout le staff en général pour la disponibilité dont ils nous ont fait part : Beatrice, Esther, Edwin, Tumaini, Samweal, Vincent, Joseph, Benjamin… Et je finirai par Stephen et Caroline, merci pour tous ces plats et toutes ces petites attentions chaque jour. Merci Astrid et Erick pour cet accueil aussi !Gwendoline Bernadette, 57 ans, Française, enseignante:

Un grand merci à tous pour ce beau séjour à Subukia Farm. Ici est une nature merveilleuse à chaque recoin. Merci à tout le personnel pour son attention à mon égard et les sourires communicatifs et aussi à Eric et Astrid pour leur accueil.J’ai adoré toutes les activités proposées : travail en liberté des chevaux avec Vincent et Astrid, cuisine avec Stephen, découverte des espèces animales avec Edwin et Korir, repassage avec Esther et Béatrice, les soins aux animaux avec Vincent et Samwel,  découverte de la culture Kenyanne avec Tumaini … et je ne peux pas tout citer.

Merci à Eric et Astrid de protéger ce coin de nature si agréable.Bonne continuation à tous !Asante sana Kwaheri Bernadette Florian, 31 ans, Français, pompier et Flore-Anne, 25 ans, Française,  infirmière:

Muringa Farm est un endroit relaxant qui amène à la réflexion. Les bandas sont très confortables et auto-suffisantes (panneau solaire, four à eau chaude) et particulièrement bien entretenues par le staff local. La cuisine est très bonne et servie avec beaucoup d’attention par Caroline et Steven qui est un très bon chef.Avec les guides locaux, nous sommes partis visiter les alentours et ils nous ont fait découvrir la flore sauvage et son utilisation quotidienne (cuisine, médecine…).

En tant qu’éco-volontaires, nous avons participé aux travaux de la ferme avec le staff local (nettoyage des box, brossage des animaux…) et profité des bons conseils de Vincent.

Nous avons également recensé les singes (Colobus et Blue Monkeys) et appris beaucoup de choses sur eux grâce à Edwin et Tumaini. L’observation des oiseaux (+ de 120 espèces) reste un moment privilégié au lever de jour et au coucher du soleil en navigant en barque sur le lac.

La visite de l’école du camp des réfugiés nous a beaucoup apporté sur le plan humain. Les enfants sont agréables, chaleureux et tellement contents de nous voir. L’institutrice Harriet fait un travail impressionnant avec les enfants et nous a fait découvrir sa manière de travailler avec les 47 enfants de la classe de 3 à 6 ans. Malgré le peu de moyens et l’acceptation de leur vie telle qu’elle est, cela nous a fait réfléchir sur la condition humaine.

Les cours de Swahili nous ont servi à communiquer simplement avec la population locale, ce qui est très apprécié. Nous avons enfin pu cuisiner avec la « cooking team » et apprendre sur leur manière de travailler.Pour finir, le safari nous a fait voyager à la découverte de la faune locale avec toute l’attention de Korir.

Les 2 semaines à Muringa Farm avec le staff local, nous ont énormément apporté autant sur le plan humain, que sur la valeur des gens et des choses qui nous entourent. Elles nous auront également apporté beaucoup de richesses et de connaissances. Nous ressortons grandis de ces rencontres avec des gens dont la culture est bien différente de la nôtre mais dont nous sommes proches malgré tout. Florian et Flore-Anne

MARDI 23 JUILLET 2013

Anaïs, étudiante vétérinaire, française, 21 ans: Erick et Astrid, je vous remercie de m’avoir donné la chance de faire cette expérience unique dont je rêvais depuis longtemps : découvrir un pays d’Afrique, ses habitants, sa culture, sa faune sauvage et ses paysages. Le cadre de vie est très sympathique. Il était plaisant de voir les singes parfois à côté de notre banda…Les  trekkings nous ont permis de voir de très beaux paysages, les visites en ville de découvrir un mode de vie si différent du notre…

J’ai beaucoup aimé également découvrir les oiseaux, auxquels je ne m’intéressais pas beaucoup jusqu’ici, et les singes que je n’avais jamais vus dans leur milieu naturel. J’ai aimé le travail avec les chevaux , aussi bien à l’extérieur que dans la carrière  où nous avons appris la méthode de travail en liberté qui j’en suis sûre me servira plus tard. Quant  aux safaris…. Je me souviendrai longtemps de ces moments grandioses. 

Je tiens à remercier le staff pour nous avoir fait vivre pleinement ce voyage, et plus particulièrement  Vincent, Korir, Edwin, Tumaini, Samweal, Benjamin, Stephen et Caroline avec qui nous avons eu le plus de contacts. Ils me manqueront tous. Je rentre donc en France avec plein de bons souvenirs en tête, grâce à vous tous. Merci encore ! Anaïs.

Amandine, étudiante vétérinaire, française, 20 ans: Une expérience riche en rencontres et découvertes ! Ce mois passé aux côtés de toute l’équipe de Muringafarm à Subukia a été un merveilleux dépaysement.J’ai pu découvrir un pays, de nouveaux paysages, une culture, des personnes toujours chaleureuses et accueillantes.J’ai vécu la magie de pouvoir observer dans leur milieu naturel au quotidien des animaux sauvages comme les colobes et les cercopithèques à Muringafarm, ou comme les éléphants, les rhinocéros, les girafes, les zèbres, les lions, et les guépards durant les safaris à Nakuru et à Maasaï Mara.

Je rentre en France avec une multitude de souvenirs extraordinaires. Un ciel ensoleillé et plein d’oiseaux le jour, puis parsemé de milliers d’étoiles la nuit. Une équipe toujours de bonne humeur et prête à partager ses connaissances et expériences. Bref, ce fut  un séjour inoubliable dans ce petit coin de paradis. Merci à toute l’équipe de Muringafarm pour son accueil chaleureux et les bons moments partagés ensemble.

Marion, étudiante en biologie, française, 21 ans: Hello ! Jambo !Je suis très heureuse et chanceuse d’avoir connu le Kenya, sa population, ses paysages et le meilleur : ses animaux sauvages.J’ai apprécié les nombreuses activités avec le staff de Muringa Farm, l’ambiance était toujours très bonne. Toutes les personnes que j’ai rencontrées étaient intéressantes, les échanges étaient très agréables.Grâce à ce voyage, je souhaite découvrir toujours plus l’Afrique et sa faune sauvage. Le Kenya est un très beau pays. J’aurais voulu pouvoir faire encore plus d’activités et avoir le temps de découvrir encore plus de paysages et de nature...

J’ai aimé rencontrer des chevaux différents de ceux que je connais et aborder la relation avec eux de façon nouvelle grâce au travail en liberté, j’ai aimé l’observation des oiseaux, des singes, le mode de vie différent du nôtre, prendre le temps de connaitre les gens, les magnifiques desserts de Stephen et Caroline et pour finir le safari à Maasai Mara qui était super! C’étaient les moments que j’ai préférés.Tout le monde va me manquer…Kwaheri !

Sophie, vétérinaire, française, 34 ans: Je m’appelle Sophie, j’ai 34 ans et je suis vétérinaire. J’avais envie de venir au Kenya depuis très longtemps, depuis que j’ai lu le Lion de Kessel quand j’avais 12 ans en fait. J’avais déjà une expérience de l’Afrique, mais plus à l’ouest: je suis allée au Sénégal 3 fois au cours de mes études pour participer à un projet d’élevage de poules pondeuses dans des écoles primaires. Ces 3 séjours m’ont apporté beaucoup, mais ne m’ont pas permis d’observer des animaux sauvages, le Sénégal n’ayant pas mis l’accent sur la préservation de sa faune.Venir au Kenya était donc pour moi synonyme de pouvoir enfin observer les animaux dans leur milieu naturel, mais il fallait que je trouve un moyen de faire cela intelligemment : je savais qu’un safari classique ne pouvait pas me convenir. Et la chance a voulu que je fasse la connaissance de Muringa Farm, via Facebook, et j’ai décidé d’y faire un séjour de 3 semaines en temps qu’éco-volontaire. Astrid et Erick proposent une manière très authentique et très respectueuse de découvrir le Kenya et ses habitants (bipèdes et quadrupèdes).

Leur ferme est un havre de paix où les animaux et la nature tiennent une place importante. Les membres du staff, disponibles et sympathiques, m’ont permis de découvrir la vraie vie au Kenya à travers de multiples activités dans la ferme ou à l’extérieur : de magnifiques balades à pieds ou à cheval, la rencontre avec les enfants de l’école du camp de réfugiés ou de l’orphelinat de Liliane, la découverte du travail effectué par les membres de la KSPCA (organisme équivalent à notre SPA) et du Donkey Sanctuary pour changer les conditions de vie et de travail des ânes…. De plus j’ai eu la chance de pouvoir profiter de safaris « à la carte » qui m’ont permis de voir des paysages et des animaux magnifiques, dans le plus grand calme et le plus grand respect, loin de tout tapage touristique.Ce séjour a été pour moi une expérience très enrichissante, à de nombreux points de vue. Un grand merci pour ces 3 semaines de découverte, de partage et de rires.

JEUDI 9 MAI 2013

Marine, étudiante en biologie nous a fait le plaisir de revenir à Muringa Farm avec un ami, Pierre, étudiant en biologie également, et ses parents Guy et Brigitte. Merci à tous les 4! Pierre, 23 ans, Français:

Ma première expérience au Kenya, ma première expérience en Afrique…Avant notre arrivée j’avais quelques petites appréhensions mais également un très grand enthousiasme, une envie débordante de découvrir une nouvelle culture, un nouveau langage, de nouveaux paysages ainsi qu’une biodiversité aussi diversifiée que fascinante. Et je dois dire que dès mon arrivée à Muringa farm la plupart de mes appréhensions se sont envolées pour laisser place à l’émerveillement. En effet ce lieu bénéficie d’un cadre vraiment magnifique, un très beau paysage, des montagnes tout autour ainsi que de nombreux arbres en fleurs, malgré le climat sec en cette période. Un environnement très agréable et surtout très apaisant.

Quant à la faune de la ferme, elle fut vraiment à la hauteur de mes attentes. Bien évidemment de nombreux animaux domestiques tels que les chevaux, les vaches, les moutons… mais au-delà de ceux-là, des primates (colobes et cercopithèques) qui se déplacent en groupe de branches en branches à deux pas de nos bandas. Egalement un nombre d’espèces d’oiseaux vraiment incroyable, j’ai donc pu découvrir plein de nouvelles espèces durant les « bird watching » toutes plus colorées les unes que les autres, j’étais vraiment comblé.

Et que dire du safari à Nakuru, un parc national splendide abritant un superbe lac salé qui accueille là encore des centaines d’espèces d’oiseaux, impressionnant. Aux oiseaux viennent ensuite s’ajouter les lions, les rhinos, les zèbres, les buffles, les hyènes… et bien d’autres animaux de la savane. J’étais vraiment subjugué par toute cette diversité et par cet écosystème quasiment intact, ce fut vraiment un moment très émouvant pour moi.

Ensuite, ma plus grande appréhension en arrivant dans ce pays était certainement le contact que nous allions avoir avec la population locale. Mais une fois encore cette légère crainte s’est très vite dissipée durant notre première visite dans le village de Subukia. Bien évidemment la plupart des regards étaient tournés vers nous mais très vite on s’apperçoit que ces regards ne traduisent que de la curiosité et leur envie de venir à notre rencontre. Une population vraiment très accueillante, toujours souriante et que l’on a envie de côtoyer. J’ai vraiment apprécié cet instant de proximité et d’immersion totale dans un mode de vie totalement différent du mien. Un autre moment magique vraiment très fort en émotions fût la visite du camp de réfugiés. Lorsque j’ai vu le regards de tous ces enfants s’illuminer en nous voyant arriver. Une joie de vivre vraiment admirable pour des enfants qui ne vivent de pas grand-chose, j’ai vraiment été très touché par ces rencontres. Les voir tellement heureux avec les quelques balles, ballons et fournitures scolaires que nous leur avons emporté m’a vraiment fait chaud au cœur. Le fait de contribuer au bonheur de ces enfants m’a vraiment ému et rendu moi-même heureux.

Je remercie donc Astrid et Erick pour nous avoir personnalisé un tel programme. Des activités toutes aussi variées qu’intéressantes, ce fût vraiment très enrichissant. Je ne me suis pas ennuyé un seul instant. Je tiens également à remercier l’intégralité du staff. Ils ont vraiment tous été formidables avec nous , tous très souriants et très gentils. Un grand merci tout particulier à Edwin et Korir qui nous ont accompagnés durant la plupart de nos excursions. Leur bonne humeur quotidienne ainsi que leur humour ont vraiment rendu mon séjour magique. J’ai beaucoup appris à leurs côtés notamment sur la culture et les traditions locales, ils ont nettement contribué au bon déroulement de mon séjour ici.

Pour conclure je ne retiendrais donc que des aspects positifs de ce premier séjour au Kenya, si ce n’est que deux semaines passent beaucoup trop vite. Je pense donc avoir encore beaucoup de choses à découvrir et à apprendre de ce magnifique pays. C’est pourquoi j’espère revenir assez rapidement après avoir travaillé mon swahili, afin de pouvoir encore un peu plus m’immerger dans la population. Encore merci à Astrid et Erick pour m’avoir permis de découvrir tout cela. p.garcia67@laposte.net

Marine, 23 ans, Française:

Quel bonheur de revenir ici. Retrouver toutes ces personnes qui m’ont tant marquée et en rencontrer des nouvelles toutes aussi extraordinaires.Certes, j’ai fait (presque) les mêmes visites et activités qu’il y a un an et demi mais c’était, au final, si différent. J’ai vécu une première fois, une seconde fois. Et ça, c’est génial.

Se rendre à l’école des réfugiés avec une valise pleine à craquer de cahiers, crayons, règles, équerres et jouets (merci à tous les donateurs !) et voir les enfants jouer, courir et hurler de rire… Quelle émotion ! Puis partager cette émotion, cet instant avec eux. Devenir le grand méchant blanc, leur courir après, se faire courir après, jouer à la corde à sauter, à la marelle (hoop scotch), avoir chaud, les entendre dire « mimi » (= moi), « mimi », « mimi » et les voir se chamailler pour savoir qui sera le premier à monter dans tes bras… Le meilleur merci qu’il puisse être, à mes yeux. Les bird-watching resteront toujours une partie de plaisir, surtout dans ce paradis pour les oiseaux. Les espèces et les couleurs sont si variées, on en prend plein les yeux à chaque lever et coucher de soleil.


Edwin, le petit nouveau (pour moi) est tout aussi passionné et passionnant que Korir. Chaque instant partagé avec lui fut riche en échanges, en rires et en apprentissages sur la faune, la flore, la politique et les coutumes locales.Que cela va être dur de dire au revoir…Ali et Caroline nous auront bien chouchouté avec leurs pancakes matinaux (je ne m’en lasserai jamais, je crois), leurs plats délicieusement assaisonnés et leurs gâteaux à tomber par terre… En résumé, ces deux semaines seront passées en un éclair dans ce pays qui ne me laisse définitivement pas indifférente.

Merci Astrid et Erick pour m’avoir permis de revivre ces instants et ces rencontres riches en émotions. Je pense réellement être tombée amoureuse de cette région. Subukia, tu me reverras, sois en sure. Asante à tout le staff et à vous deux pour ce délicieux break, utile et revitalisant ! marinecumins@wanadoo.fr

Brigitte, 53 ans, Française:

La première vision à la sortie de l’aéroport de Nairobi est un arbre en fleurs, rouges. Et la nonchalance des travailleurs kenyans. Puis un choc devant le nombre de plastiques et de détritus qui jonchent le sol, portant sur les à-côtés avec tous ces gens qui marchent dans tous les sens, qui traversent n’importe où. Et une circulation intense et désordonnée.Les matatus qui roulent vite sur des routes non balisées, les trous qu’ils évitent et qui les font rouler du côté de la route où nous arrivons, se rabattent au dernier moment. Quelques frayeurs donc. Et toujours beaucoup de gens qui marchent de chaque côté de l’asphalte.Puis l’arrivée à Muringa Farm, de nuit. Accueil chaleureux et plus trop de souvenir de la suite de ce soir-là. Premier petit déjeuner avec des crèpes excellentes que l’on va apprécier tout le long du séjour. La cuisine sera excellente matin midi soir avec un Ali fort sympathique, passionné de foot et qui connait quelques mots de français, assisté de Caroline, très discrète mais toujours souriante. Manger des plats variés et gouteux dans un environnement que l’on peut dire paradisiaque où dès le matin nous pouvions observer les oiseaux.

La présentation ensuite par les hôtes (Astrid et Erick) de la maison de Mama Daktari (qui est maintenant la leur) m’a beaucoup intéressé. Tout en connaissant ce nom je n’avais rien lu sur cette femme au tempérament bien trempé qui force l’admiration. Cette maison au milieu de la verdure et des animaux ressemble vraiment à un havre de paix.Dans le parc nous avons nos bandas avec juste ce qu’il faut pour se sentir bien. Le soir nous nous endormions au son des feuilles des arbres qui bruissent et aux cris d’animaux divers et variés. L’emploi du temps que nous a confectionné Astrid est varié et a été fait en fonction de nos envies et de nos capacités. Une alternance de visites à la population locale (école, maisons keyanes, orphelinat) de découverte de l’écosystème, de trekking et de temps libre.

Nous étions encadrés durant toutes ces activités par des guides très compétents, très disponibles, toujours à notre écoute. Même si je ne parlais quasiment pas l’anglais je ne me suis jamais sentie exclue. Il faut dire que j’avais deux traducteurs à disposition en la personne de ma fille et de son ami.Nous avons été essentiellement encadré par Edwin et Korir. Aussi professionnel l’un que l’autre, ils avaient beaucoup d’humour également.

Même si Marine nous avait beaucoup parlé de Muringa Farm, j’arrivais ici sans savoir à quoi m’attendre. Découvrir l’Afrique dans les conditions que vous nous avez proposé me donne envie d’y revenir ou du moins de m’y intéresser davantage, par la lecture, des documentaires pour prolonger ce voyage au-delà de mon retour en France. Bien sur il y a la misère indissociable de l’Afrique. C’est effarant de voir dans quoi vivent les kenyans pauvres. Et en même temps je me dis qu’il y a de l’argent quand je vois les gros 4*4 qui nous doublent sur les routes défoncées. De même d’énormes maisons dans les quartiers un peu plus propres des villes.


Guy, 56 ans, Français:

Le noir et la lumière.Huit heures. Nous émergeons d’un trop court sommeil et nous voilà plongés dans le fourmillement de Nairobi. Progressant au cœur des matatus et des quartiers pauvres, toujours loin du centre, c’est mon premier contact avec l’Afrique. C’est pour elle que je viens. Elle m’attire depuis longtemps. Ma première réaction va colorer mon séjour :  « c’est vraiment pauvre ». Des enfants pieds nus, des habites guenilles, des marchands de « rien », des bidonvilles coupés par un équivalent de périphérique sans autre possibilité pour leurs habitants que de se lancer dans ce flot de voitures pour atteindre l’autre berge. Et puis des plastiques. Des plastiques partout ! Le nouveau président veut s’attaquer à ce problème. Bon courage !Mais bon… C’est Nairobi, la grande ville du pays et nos grandes villes n’ont rien à leur envier avec leurs couronnes de pauvres toujours repoussés en périphérie. Peut-être dans un pays pauvre y a-t-il plus de pauvres ?Notre mue temporaire en éco-volontaires peut tout de même commencer. Les éléphants orphelins viennent nous amuser pour qu’on les aide à survivre eux aussi. Nous donnons à manger à Daisy, la girafe de Rotschild et nous retrouvons les difficultés sociales et son pendant humanitaire au sein de la Kazuri factory. Un travail d’usine pour des objets d’arts, le tout manuel et féminin.Quatre heures plus tard, nous voilà à Muringa Farm. Malgré la nuit, l’accueil est chaleureux, comme il le sera durant tout le séjour. Politesse et gentillesse auraient d’ailleurs pu être les deux mamelles de Muringa Farm, mais grâce à l’addition des qualités individuelles de chacun des membres du staff, ce lieu possède au final bien plus que deux mamelles… Disponibilité, compétence, discrétion… peuvent y être ajoutées aisément. Tout est fait pour nous rendre le séjour agréable et, indéniablement, c’est une réussite. Hakuna matata !Car si Muringa Farm est avant tout le havre de nature, de faune et de flore voulu par Astrid et Erick, c’est aussi un lieu de rencontres humaines. Le staff est kenyan et pour le touriste curieux et respectueux des différences culturelles que je suis, c’est un plus.Autre langue, autres us (notre comté jurassien, malgré sa texture, son goût et son arôme, n’a pas su emporter l’enthousiasme de l’équipe – sauf pour Astrid et Erick, racines obligent – tout comme le porridge de l’école du camp des réfugiés n’a su dégager un consensus chez nous, les blancs), autres traditions,… même humanité.

Muringa Farm est aussi ouverte vers l'extérieur:

- Visite à subukia, le « village » de la vallée, avec sa misère et ses sourires. La face noire et la face lumineuse.

- Visite à l’école du camp de réfugiés de Subukia, conséquence des affrontements ayant suivi l’élection présidentielle de 2007. Nous apportons quelques dons d’anonymes qui aideront, modestement, Ariette dans son action bénévole auprès de 50 enfants de 3 à 7 ans. Cours d’alphabétisation (en swahili et en anglais), cours de calcul, porridge et jeux avec les enfants. Des instants de bonheur partagés. Nous rapporterons précieusement leurs dessins pour nos donateurs.- Visite à l’orphelinat de Liliane. Ici aussi Astrid et Erick, via ASES, une association française, participent financièrement à l’éducation de 24 jeunes pris en main depuis 10 ans par une vieille grosse dame de 78 ans, aux genoux usés et au sourire inusable. Le noir et la lumière.

- Trekking chez Samweal, un membre du staff, dont la femme nous confectionne un repas traditionnel. Ils nous ouvrent un peu de leur intimité. C’est toujours pauvre mais un peu jour de fête. Demain Christine va fêter ses un an et Joyce, sa sœur, ses 7 ans. Les enfants ont droit à une sucette chacun. Steven et Naomi danseront pour nous sur la musique du téléphone portable de Jane, la maman. Autre moment d’échange après le partage avec Samweal des beautés de sa terre.Bien sûr, il y a eu Thomson’s falls et leur curios shop (How much ?... For you, I do… It’s too expensive…), the view point et… les curious shop (How much ?...).

On peut aussi ajouter la découverte de la culture du thé (merci messieurs les anglais) et du café. On approche un peu les différences sociales. Le riche propriétaire terrien (ici l’église anglicane) et sa main d’œuvre à qui il offre un travail. Mais nous sommes au Kenya et il ne faudrait pas oublier les animaux !Muringa Farm en abrite de nombreux, domestiques et sauvages, que les séances d’observation des oiseaux et des singes, avec Edwin notre spécialiste, nous ont permis d’approcher. Les couleurs des petits martins-pêcheurs ou des mangeurs d’abeilles… ! La curiosité des cercopithèques et les sauts des colobes… ! Un vrai plaisir.Ajoutez à tout cela les temps de safari avec un rhinocéros noir qui traverse la route devant nous pour faire le show (parce que Korir avait « senti » qu’il allait le faire…), des buffles males fiers et hautains qui nous observent à trois mètres, ou cette lionne avec ses deux filles qui se prélassent indifférentes de notre jeep qui stationne à côté d’elles. Que d’images…

Pour finir, j’en garderai une dernière comme symbole de cette Afrique que j’étais venu rencontrer, symbole de cette symbiose entre l’Homme et la nature, entre l’Homme et l’animal. Ce sera celle des hippopotames de Nyahururu. Cet animal dont les charges à plus de 30km/h sont souvent mortelles pour l’imprudent. Cet animal considéré comme le plus dangereux par les africains. Cet animal est là, à côté de leur village, au milieu de leurs champs, de leurs bêtes, de leurs enfants et les deux cohabitent. Le noir et la lumière.

SAMEDI 4 MAI 2013

Laure, 39 ans, Française:

Muringa Farm est un havre de paix et de verdure niché à 2000m d’altitude. Juste sur l’équateur, c’est l’endroit idéal !La végétation y est luxuriante et les animaux libres : les chevaux broutent dans les champs, les vaches, moutons et ânes y paissent tranquillement. Les singes vont et viennent dans les arbres, les oiseaux nombreux et magnifiques colorent le paysage, les papillons enchantent, les chiens Tamu, Daïka, Samba and Co s’amusent, vous saluent et repartent à leurs occupations suivis de Lolita la chèvre qui se prend parfois pour l’un des leurs, à courir avec eux, jouer et sauter, puis réclame votre attention et finit par aller se coucher le soir avec les oies !... Et puis, il y a les damans. Nichés dans les arbres, calmes et discrets et chanteurs nocturnes. Ah ! Le cri du daman le soir au-dessus des pirogues !!! Inoubliable ! Inimitable !

Et puis, il y a aussi une équipe formidable menée par Astrid et Erick, les créateurs de Wild Routes Of Kenya. Randonnées, safaris au lac Nakuru ou à la réserve du Maasaï Mara, observation des oiseaux de la ferme, des singes, des plantes et des arbres. Travail avec les chevaux en liberté, soins aux animaux…

J’ai pu faire tout cela au cours des 3 semaines passées ici. Les safaris avec Korir, un très bon guide et conducteur respectueux du monde animal, les sentiers nature instructifs et les randonnées avec l’adorable et souriant Edwin et son œil de lynx notamment pour les oiseaux, les cours sur les méthodes d’entrainement en liberté avec les chevaux, avec Astrid enthousiaste et passionnée , puis la mise en pratique de ces cours avec Vincent, remarquable et patient, accompagné de Joseph.

Tout ceci ponctué par la très bonne cuisine d'Ali et de Caroline que l’on déguste au bord du lac.

C’est un endroit formidable pour découvrir une partie du Kenya. Il offre de belles rencontres avec d’autres éco-volontaires ou des touristes et voyageurs de passages.Une seule envie : revenir ! Merci et à très bientôt !!

VENDREDI 22 MARS 2013

Thomas vient pour la deuxième fois et Mélanie et Gulsah sont nos premières écovolontaires Belges! Merci à tous les trois...

Thomas, 42 ans, Français:


A l’occasion de mon deuxième séjour à Subukia, je viens seul cette fois car ma chérie Lorely n’a pas pu se libérer. Je vais être accompagné par 2 éco-volontaires belges super sympas : Mélanie 21 ans et Gulsah 28 ans. Je suis une nouvelle fois hyper bien accueilli par le staff que je retrouve avec un immense plaisir.

Pas besoin de temps d’adaptation, je retrouve vite mes marques et apprécie chaque instant. La ferme est toujours aussi belle, les animaux sympas. Lolita la chèvre est égale à elle-même, les chiens affectueux, les chevaux magnifiques. Aliocha a gardé son caractère mais cette année il ne me regarde pas préférant déloger les filles du petit salon dès qu’elles osent s’y installer.

Ali le cuisinier et Caroline nous gâtent avec leurs bons repas. Vincent, Benjamin et Joseph s’occupent à merveille des chevaux et les balades en dehors de la ferme sont l’occasion de croiser les enfants de Subukia toujours aussi contents de nous voir. Les moments partagés avec Samweal, Edwin et le reste du staff sont comme toujours l’occasion d’échanger à propos de tout et de rien.

Je ne me lasse pas de l’observation des animaux sauvages de la ferme : blue monkeys et autres colobes sont magnifiques et pour la première fois j’aperçois la petite antilope duiker. A ma demande je souhaite faire plus de farm animals care et mon vœu est exaucé : l’entretien des boxes des chevaux n’a plus de secret pour moi, tout comme le brossage des ânes ou le remplissage de l’abreuvoir des vaches. A chaque fois cela se fait dans la bonne humeur et les fous rires avec Mélanie resteront gravés dans ma mémoire.

Je profite de chaque instant : la visite du camp de réfugiés comme celle de l’orphelinat sont des moments très forts. Le repas partagé avec Shiro est également à ranger dans la case des excellents souvenirs.

Et comment ne pas parler des safaris : après Nakuru comme mise en bouche, les 3 jours au Maasaï Mara sont tout simplement fantastiques : au programme entre autre éléphants, hippo, mais aussi lions et même guépards. J’ai la chance de partager ces moments avec Mélanie, Gulsah, une famille suisse hyper sympa et Korir, toujours aussi extraordinaire comme guide et comme être humain.

Enfin comment ne pas remercier Astrid et Eric sans qui ce séjour n’aurait pas été possible. J’espère pouvoir revenir...

Mélanie, 21 ans, Belge:

Un mois en tant éco-volontaire à Muringafarm fût une expérience hors du commun. Je recherchais depuis quelques temps un projet de la sorte jusqu’au jour où je suis tombée sur le blog d’Astrid et Erick. Ce fût tout de suite très clair pour moi. Rencontre avec la population locale, contact omniprésent avec les animaux et la nature. Deux semaines plus tard, me voici à Subukia, Muringa Farm !

Je suis entourée de deux autres éco-volontaires super agréables qui viennent pour deux semaines. Gulsah et Thomas. Dès le premier jour, rencontre avec le staff, visite de la ferme et du village de Subukia. Accueil chaleureux, je me sens déjà comme chez moi ! Au fil des jours, on enchaine les activités, on apprend plus de jour en jour grâce à ce staff incroyable.

Tout cela dans une superbe propriété dans le plus grand respect de la nature et des animaux. Les bandas sont très confortables. Logé dans les bois et face au lac, on trouve le restaurant où Ali et Caroline nous concoctent des plats délicieux chaque jour. Petit coin de paradis. Les trekkings avec Samweal, le bird watching avec Edwin, les safaris avec Korir, les soins aux animaux de la ferme avec Vincent et Joseph, et j’en passe, resteront des souvenirs fabuleux et de vrais moments de partage.

Durant mon séjour, j’ai eu l’occasion de participer à 2 safaris : celui de Nakuru, et celui du Maasai Mara avec Thomas, Gulsah et une famille suisse très sympathique. Nous étions accompagnés par notre guide Korir, expérience exceptionnelle, ça nous laisse des incroyables images plein la tête. On est en plus super bien reçu par le staff de Mara Kima Camp !!!

Je n’oublie pas de parler bien évidement de tous les animaux de la ferme qui ont rendu mon séjour encore fabuleux. Les chiens : Tamu, Daïka, Samba, Ebu et Kuruka, le chat Mwitu, le daman Pimbi. Lolita ma chèvre préférée se prenant pour un chien, les chevaux Santos, Typhon, Ouragan, Justice, Aliocha, les ânes Laini et Adabu, les vaches, les moutons et les oies.

Ce séjour restera avant tout chargé de rencontres, de rires et d’émotions très fortes. Je parle bien évidement des rencontres locales, le staff et cette ambiance formidable mais aussi celles des de clients et d’autres éco-volontaires. Après le départ de Thomas et Gulsah, j’ai rencontré la nouvelle éco-volontaire, Laure avec qui j’ai partagé également de superbes moments.

J’ai découvert énormément de choses durant cette expérience dont les méthodes douces de travail en liberté avec les chevaux, telles que la méthode Carolyn Resnick ou la méthode Human to Horse d’Alessandra Deerink. Merci à Astrid pour ces séances instructives. Ce fut extraordinaire.

Pour conclure je recommande cette expérience à toute personne qui souhaite découvrir le Kenya en dehors du tourisme de masse. Merci à tout le staff, merci à Astrid et Erick pour ce fabuleux endroit. J’espère vous dire à très bien tôt. !!!

bodart.melanie@gmail.com Gulsah, 28 ans, Belge :

Le Kenya, longtemps rêvé… Bien décidée à y aller cette année, j’augmente les recherches, mais finalement c’est par hasard que je tombe sur « Wild routes of Kenya » dans un journal ! Il ne m’a pas fallu beaucoup de temps pour parcourir le site et penser : Ca y est, ca va se réaliser !

Découvrir un Kenya authentique, voila mon souhait. Le concept de l’éco-volontariat rendait le programme encore meilleur.Apres quelques échanges avec Astrid, j’ai un programme sur mesure. J’achète mon billet, je compte les jours…Je patiente…Je rêve……………….et j’atterris : me voila à l’aéroport de Nairobi !

L’aventure commence avec notre guide en or Korir (enfin presque, il est guide argent !). Nous voilà en route pour découvrir la faune et la flore de ce magnifique pays. Installée dans le 4x4, le trajet direction la ferme est rempli de ces couleurs que j’avais l’habitude de voir dans les photos et sur l’écran. Mes premiers pas dans la ferme Muringa : rencontre avec une partie du staff super accueillant et toujours souriant, les bougainvilliers, les acacias, les bandas, le lac avec le restaurant, le chant des oiseaux…

J’ai été honorée de séjourner dans l’ancienne propriété de Mama Daktari, médecin volant qui a apporté beaucoup de son aide à la population et que j’ai appris à connaitre grâce à Astrid et Erick. Au fil des jours et à travers les activités, de nombreuses heures de marche pour : la visite du village de Subukia, le trekking pour le view point situé à environ 2500m d’altitude, le trekking chez Samweal... Subukia est un village dans la vallée du Rift et qui ne connait pas le tourisme. Donc c’est avec plaisir que je croise les regards curieux et j’apprends mes premiers mots de Swahili : Karibu, Jambo, Asante !

Un super moment  est quand on passe devant une école et que j’entends crier les enfants : « HOW ARE YOU! » à répétition. Cette première fois, je ne l’oublierai pas et je ne me lasserai pas de répondre à cette question tout au long du séjour. Une petite fille avec un sourire timide, demande même à être photographiée avec moi. Et puis il y a cet autre moment fort émouvant: la visite à l’école de l’ancien camp de refugiés. Un accueil super touchant. Les enfants sont carrément en compétition pour nous tenir la main. Ils chantent, ils dansent et crient de joie pour les nombreuses photos.

Dans la ferme, j’ai pu apporter quelques soins aux nombreux animaux domestiques et j’ai même administré du vermifuge à 2 moutons et une vache ! Mais les rois à Muringa se sont les chevaux : Aliocha, Santos, Justice,… Pour mon grand plaisir j’ai eu l’occasion de monter Justice, qui était très « lazy » (d’après Benjamin) au départ. C’était un plaisir de sortir de la ferme et d’admirer les paysages alentours.

Il y a aussi des singes dans la propriété : colobes et les blue monkeys. Les colobes sont trop beaux avec leurs longues queues blanches. J’ai adoré les observer avec Korir. Les blue monkeys sont un peu plus actifs, mais malheureusement ils étaient un peu absents à ce moment-là. Pour l’observation des oiseaux, c’est Edwin qui a partagé ses connaissances. C’est la première fois que j’ai observé autant de spécimen dans un même endroit. C’était vraiment très enrichissant.Un voyage au Kenya sans safari est bien sur inimaginable.Pendant mon séjour j’ai eu la chance d’en faire 2. Le premier au Lac Nakuru. Un magnifique parc national qui se trouve à une heure de Subukia et qui est connu pour accueillir un grand nombre de flamants roses  et de centaines d’espèces d’oiseaux : paradis pour les ornithologues ! C’est la que j’ai vu pour la première fois des rhinocéros et des buffles : impressionnant !

Quant au Maasai Mara, c’est la savane dans toute sa splendeur avec ses acacias solitaires ici et la. Et je ne vous parle pas des levers de soleil : les plus beaux de ma vie !Les « Big five » n’étaient pas tous au rendez-vous (pas de rhino et léopard), mais les félins étaient en nombre (lions et guépards). On a même vu un serval, qui d’après Korir est plutôt difficile à voir.

Une expérience enrichissante sur le plan humain! Des personnes d’une gentillesse incroyable, des sourires continuels : mes plus beaux souvenirs.Wild routes of Kenya, c’est aussi de super rencontres : Merci Astrid et Erick d’avoir réalisé ce programme, merci Mélanie et Thomas pour votre présence ! Merci a tout le staff. Asante + Tutaonana Kenya! gulsahk84@hotmail.com

LUNDI 18 FÉVRIER 2013

Sylvain, 50 ans, Canadien: Sylvain a séjourné un mois à Muringa Farm, au cours d'un voyage d'un an en Afrique (notamment Afrique du Sud et Cameroun, où il est actuellement). Etant passionné de chevaux, il a passé beaucoup de temps à entrainer les nôtres. Mais il s'est aussi beaucoup occupé des enfants de l'orphelinat et de l'école de l'ancien camp de réfugiés et a fait de nombreux trekkings pour découvrir la vallée de Subukia... Voici le message qu'il nous a envoyé juste avant son départ au Cameroun:

Je garde un beau souvenir de mon séjour parmi vous.  Que ce soit les visites aux propriétaires d'ânes qui m'ont écouté avec attention à ma grande surprise, mon but était d'aider un peu et non pas d'accuser...  Ou que ce soit lors des randonnées comme l'agréable moment passé avec la famille de Samweal et un bon repas, ou encore le lac Solaï, les visites à l'orphelinat, aux réfugiés, qui reçoivent le mzungu avec joie, on sent qu'ils aiment ces moments passés ensemble... 

Egalement le travail avec les chevaux, j'aurais voulu faire plus mais je suis content quand même du résultat, Astrid et Éric aiment les animaux et réussissent à le communiquer aux employés et aux visiteurs, c'est un beau travail qu'ils font...

Aussi les cours de swahili, et les explications sur les arbres, les singes et autres d'Edwin, avec une grande patience car je parle très peu anglais, et souvent beaucoup d'humour... Ou tout simplement des moments libres à lire, rester à observer la vie de la ferme, partager le repas avec ces charmantes personnes de passage à la ferme, d'aller au village avec les gens qui saluent le mzungu qui passe...  C'est une très belle région mais le cœur de gens de Subukia est encore plus beau.  Merci!

LUNDI 7 JANVIER 2013

Ludivine, 29 ans:

Passionnée de voyages, je souhaitais cette fois-ci sortir des circuits habituels afin de découvrir un pays de manière plus authentique. Après plusieurs minutes passées sur internet, je découvre le site de Wild Routes of Kenya. La destination, le concept d’éco-volontariat, la présence d’animaux domestiques et sauvages au sein de la propriété ainsi que la possibilité de découvrir les alentours et de faire des safaris ont tout de suite retenu mon attention !

Je décide donc de contacter Astrid et Erick qui en quelques échanges ont pu m’établir un programme sur mesure sur la période souhaitée : 2 semaines plus tard, me voici à Subukia au sein de Muringa Farm ! Après avoir été chaleureusement accueillie, l’équipe m’installe dans une des bandas de la propriété (rustique mais très confortable, la banda dispose également de petites attentions très appréciées et utiles). Une fois le soleil levé, c’est avec plaisir que je découvre les lieux : la propriété est tout simplement magnifique !

Le restaurant à quelques minutes des bandas est situé dans un havre de paix, au bord d’un lac où il fait bon observer les oiseaux. La cuisine quant à elle est excellente et toujours variée, un grand merci à Ali et Caroline.Toute l’équipe de Muringa Farm est très accueillante, gentille, toujours disponible et partante pour transmettre leurs connaissances et passer de bons moments.

Au travers des activités proposées, j’ai pu découvrir le mode de vie de la population. Aider le staff dans leurs tâches quotidiennes avec les animaux de la ferme (très instructif !), découvrir et apprendre sur la faune et la flore du pays, observer les animaux sauvages et aider au recensement des espèces, venir en aide aux plus démunis grâce à la participation de Wild Routes of Kenya, faire des safaris et même apprendre quelques mots en Swahili !

Je tiens vraiment à remercier Astrid et Erick ainsi que toute l’équipe pour ce merveilleux séjour qui je peux le dire à dépassé mes espérances !!! Un grand merci à tous et à très bientôt. Ludivine


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